mardi 28 juin 2016

100. La maison du péril

Ma centième lecture est un roman policier d'Agatha Christie : "la maison du péril" :

Voici la quatrième de couverture : "Un lourd tableau se décroche et tombe à la tête du lit... Un rocher dévale une falaise et s'écrase sur le sentier en contrebas... Les freins d'une voiture lâchent dans une descente... Des accidents malencontreux comme il en survient chaque jour. Ces peccadilles n'intéressent pas l'inégalable Hercule Poirot. A moins que la victime de tels désagréments ne soit toujours la même personne. Poirot n'aime pas les coïncidences de ce genre. Echapper par trois fois à la mort, quelle chance inouïe ! Mais si un autre « accident» devait avoir une fin moins heureuse ? "

Comme d'habitude, je me suis laissée entrainer dans la plupart des fausses pistes et tous les pièges que la romancière a tissé. Bon, j'avais quand même suspecté quelques personnages louches pas très honnêtes, mais j'avoue que je n'ai pas trouvé le coupable ... comme à chaque fois que je lis un Agatha Christie.  Mais c'est justement ça que j'aime dans ses romans !

A lire dans une vieille demeure au plancher grinçant, ou en savourant une boite de chocolat.

jeudi 23 juin 2016

99. Gone, tome 2

Ma quatre-vingt-dix-neuvième lecture est le deuxième tome de la saga "Gone" de Michael Grant :
Voici le synopsis : "À Perdido Beach, les enfants vivent depuis trois mois sans adultes, piégés à l'intérieur de la Zone. La famine menace, les dissensions éclatent et surtout, une créature inquiétante se réveille. Et elle a faim…
Cela fait trois mois que les enfants de la petite ville californienne de Perdido Beach sont piégés dans une bulle qu'ils ont baptisée la Zone. Trois mois que tous les habitants de plus de 15 ans ont disparu. La nourriture commence à manquer, la famine s'annonce et personne n'a de solution.
Bientôt des dissensions éclatent entre les « mutants », qui développent des pouvoirs surnaturels, et les « normaux ». Le chaos s'installe en ville.
Sans compter qu'un danger bien plus terrible menace les habitants de la Zone. L'Ombre, une créature inquiétante terrée dans les collines, appelle ses serviteurs. Elle s'est réveillée. Et elle a faim."

On retrouve les personnages du premier épisode, avec toujours cette tension entre le pensionnat et la ville. Quelques nouveaux personnages prennent le devant de la scène et surtout "l'ombre" va devenir un élément de plus en plus important. 
Comme dans le premier tome, un compte à rebours sers de titre aux chapitres afin de faire monter la tension et le suspens. 
Ainsi que le fait remarquer un personnage, la Zone a créé deux catégories de personnes : le clivage n'est pas dans le fait d'être "normal" ou "mutant" mais dans le fait que la Zone fait ressortir soit le pire soit le meilleur de chacun. 

Une saga très jeunesse dont je lirai la suite avec plaisir. 

mercredi 22 juin 2016

97. Le combat d'hiver

Ma quatre-vingt-dix-septième lecture est un roman jeunesse de Jean-Claude Mourlevat :
Voici le synopsis : "Le combat d'hiver est celui de quatre adolescents, évadés de leur orphelinat-prison, pour reprendre la lutte perdue par leurs parents, quinze ans plus tôt.
Ont-ils la moindre chance d'échapper aux terribles "hommes-chiens" lancés à leur poursuite dans les montagnes glacées? Pourront-ils compter sur l'aide généreuse du "peuple-cheval"? Survivront-ils à la barbarie des jeux du cirque réinventés par la Phalange?
Leur combat, hymne grandiose au courage et à la liberté, est de ceux qu'on dit perdus d'avance. Et pourtant."


Mourlevat est un auteur jeunesse que j'apprécie beaucoup.  C'est un auteur français dont j'ai déjà lu quelques ouvrages ("l'enfant-océan", "la rivière à l'envers","la balafre" ..). La plupart de ses livres sont fantastiques, mais si certains s'adressent à de jeunes lecteurs, d'autres semble appeler un publique plus adolescent, voir jeune adulte.

Pour ce livre, l'aspect fantastique vient progressivement avec les effrayant hommes-chiens et les sympathiques hommes-chevaux. Cette histoire tient plus de la dystopie que du fantastique. Un régime politique violent, dictatorial et extrêmement répressif,... une résistance discrète mais qui va s'amplifier jusqu'à la révolte....

A lire pour s'évader et retrouver ensuite avec plaisir la chaleur de son foyer.







mardi 21 juin 2016

96. un livre audio

Ma quatre-vingt-seizième lecture n'en est pas vraiment une puisqu'il s'agit d'un livre audio. Un recueil de nouvelles de Jorn Riel : Une épopée littéraire et autres racontars arctiques
 Voici le synopsis : "Comment ce rustre de Fjordur, l'Islandais, s'y prend-t-il pour tricher aux cartes avec l'aide de Miss Dietrich, sa chienne préférée, surtout quand on sait qu'elle a perdu la voix ? Comment le Grand Désert Arctique, le froid extrême, al solitude la plus absolue, font-ils de Petit Pedersen, moche et bourré de complexes, un vrai géant, une force de la nature, un chasseur de premier ordre, bref un authentique héros polaire ? Comment trente-huit boîtes à sardines, dont une accidentellement transpercée par une balle perdue, ont-elles pu sauver un chef-d'œuvre de la littérature mondiale ? Comment le capitaine Olsen, d'ordinaire si avisé, en est-il arrivé, en négligeant une banale histoire de rat, à de voir bouffer sa casquette ? Jorn Riel répond à tout cela et nous dit bien d'autres choses encore sur ses héros, les derniers trappeurs des compagnies de chasse qu'il a bien connus là-bas, au Groenland, il y a un demi-siècle. Des histoires d'un temps révolu ? Non, des racontars universels"

Jorn Riel est un auteur que j'apprécie tout particulièrement et je retrouve à chaque fois les racontars arctiques avec un grand plaisir.  J'aime cette tendresse un peu burlesque, ces personnages extravagants et pourtant réservés... J'aime aussi beaucoup les paysages, l'environnement groenlandais, cette alternance entre la nuit polaire et le long jour de l'été.
Bref, autant vous dire que je me suis délectée de ces 4 racontars que j'ai écouté sur le chemin du travail.

lundi 20 juin 2016

bilan de mi parcours

Il y a quelques temps, je me suis inscrite au challenge "Hymne à la terre".
Le but est de lire des livres mettant en avant la beauté de notre planète, de son environnement mais aussi de ses habitant, la diversité culturelle et l'engagement de certains pour sauver la nature.

Il est temps de faire un bilan de mi-parcours :


Je ne sais pas si cela rentre dedans, mais je proposerais bien la série "Magasin Général" de Loisel et Tripp : pour la découverte du Québec, tout comme la série de manga "Bride Stories" pour la découverte du mode de vie des tribus mongoles.
      

Je propose aussi des guides nature : la forêt en 301 questions, La nature en bord de chemin, Le monde des oiseaux

_ un récit d'aventure : un an de cabane :












_ des contes : contes d'Haïti , contes d'Orient, contes du Japon





_ une BD jeunesse : Monsieur Blaireau et Madame Renarde

_ une saga jeunesse : La guerre des clans


_ deux album jeunesse : Le loup qui voulait faire le tour du monde, "Courez,courez, petits singes"
_deux livres d'Amélie Nothomb : Métaphysique des tubes et Biographie de la faim : elle y raconte son enfance d'abord au Japon, puis en Chine, à New York avant de retourner en Asie : une variété de cultures. 
_ un roman de Jules Verne où la beauté des océans est mise à l'honneur : 20  000 lieues sous les mers
_ un documentaire junior  sur les oiseaux  : le monde des oiseaux



Soit 16 lectures !

dimanche 19 juin 2016

95. Tokyo Ghoul

Ma quatre-vingt-quatorzième lecture est le premier tome de ce manga :




J'ai bien aimé l'histoire, même si j'ai trouvé que tout allait très vite dans l'histoire -beaucoup plus que dans le deuxième volume- et puis j'ai trouvé les personnages très naïfs... vivre dans un monde où des goules peuvent vous dévorer et ne prendre aucune précaution contre cela me semble irresponsable, cela dit, les personnages sont assez jeunes.

Je ne finirai probablement pas la saga, car je n'ai pu emprunter que ces deux épisodes. Mais cela reste une découverte sympathique.

samedi 18 juin 2016

94. Drole de disparition

Ma quatre-vingt-treizième lecture est un album jeunesse de Catherine Lafaye-Latteux et Eléonore Thuillier :




Voici la quatrième de couverture : "Je te propose un jeu : on fait la course et le premier arrivé aura gagné le droit de manger. Ça te dit Oh trois fois lui ai-je dit avec grand appétit. Mais attends... avant prends donc mon chaperon. Il risque de me gêner. Et puis mon panier. J'ai peur en courant de le renverser. D'accord, ai-je accepté à tort. Arrivé devant chez Mère-Grand, personne... Où est donc passé le petit chaperon rouge ? "


Une histoire qui sème un peu la pagaille entre les conte, car ... où chercher le Petit Chaperon Rouge, sinon dans un conte ?

Un album à découvrir pour les enfants qui connaissent déjà quelques contes !

vendredi 17 juin 2016

93 et 94 : All you need is kill

Mes quatre-vingt-quatorzième et quinzième lectures sont les deux tomes d'un manga qu'on m'a prêté.


Voici le synopsis : "L'humanité est engagée dans une guerre sans précédent. Bon ennemi : une civilisation extraterrestre connue sous le nom de "Mimic", déterminée à exterminer toute vie humaine. Sur l'île de Kotoiushi, armées japonaise et américaine tentent de lutter contre cette invasion de monstres redoutables, mais parmi tous les soldats, seul le jeune Keiji Kiriga semble revivre indéfiniment la même bataille..."' 

J'ai vraiment aimé cette histoire et je crois bien que j'en avais déjà entendu parler.
L'histoire est assez bien ficelée même si la fin est un peu culcul à mon goût.


Une belle découverte !

92. La tête en friche

Ma quatre-vingt-douzième lecture est un roman de Marie-Sabine Roger :

C'est un très beau roman dont j'avais déjà vu l'adaptation en film.
Voici la quatrième de couverture (qui est issue du livre) : "Ce qu'ils mettent au dos des romans, je vais vous dire, c'est à se demander si c'est vraiment écrit pour vous donner l'envie. En tout cas, c'est sûr, c'est pas fait pour les gens comme moi. Que des mots à coucher dehors - inéluctable, quête fertile, admirable concision, roman polyphonique...- et pas un seul bouquin où je trouve écrit simplement : c'est une histoire qui parle d'aventures ou d'amour - ou d'indiens. Et point barre, c'est tout."

C'est l'histoire de Germain qui se lie d'amitié avec une vieille dame, Margueritte. germain est un peu l'idiot du village, un grand benêt attardé. mais au contact de Marguerite, il va se mettre à penser, à réfléchir et à mieux sentir les choses de la vie. Et surtout, il va se mettre à aimer lire !
Si Margueritte a eu une vie passionnante -elle a fait de hautes études, a voyagé dans le monde entier- Germain semble ne pas avoir eu de chance : il n'a jamais connu son père, sa mère n'avait pas "la fibre" et l'instituteur a pris un malin plaisir à l'humilier pendant des années.  Pourtant Germain a plus de talents et de potentiels qu'on le croirait au départ : il sait juger les gens, il sculpte le bois, il n'aime pas mentir, c'est un ami loyal, il a une excellente mémoire, c'est un bon jardinier....
Il est comme un champ en jachère... s'il est inculte, c'est juste qu'on l'a pas cultivé, pas qu'il n'est pas cultivable.

Et j'ai adoré certaines de ses formules, comme celle-ci"Réfléchir, ça m'aide à penser."
C'est une très belle histoire, à lire absolument !

mercredi 15 juin 2016

91. un manga ...

Ma quatre-vingt-onzième lecture m'est arrivée par hasard ... C'est un manga que j'ai confisqué... mais hélas, c'est le tome 2 de l'histoire.
Cela dit, j'ai assez bien aimé - à par les toutes dernières pages qui m'ont moins plu. L'histoire est fantastique, mais reste cohérente. Des goules vivent au milieu des humains, des êtres dangereux se nourrissant de chair humaine mais également pourchassés par des "enquêteurs" qui les massacres sant pitié et sans distinction : les goules inoffensives -se nourrissant de cadavres- et les autres...
Le héros, Ken, est un étudiant qui a reçu des organes de goule lors d'une greffe. il se retrouve donc plongé dans cet univers qu'il ne soupçonnait pas et dont il découvre peu à peu les règles.

Maintenant, j'aimerais bien que l'élève me prête le premier tome, que je connaisse le début de l'histoire !

mardi 14 juin 2016

90. L'histoire de la licorne

Ma quatre-vingt-dixième lecture est un petit roman jeunesse de M. Morpugo : L'histoire de la licorne


Voici le synospis "Tomas, huit ans, déteste l'école et les livres. Il préfère vagabonder dans les montagnes qui entourent son village. Un jour, sa mère le dépose à la bibliothèque, pour assister à l'heure du conte. Le jeune garçon réticent finit par s'approcher peu à peu de la «Dame à la Licorne», fasciné par les histoires qu'elle raconte. Mais la guerre arrive au village et les livres sont en danger..."

C'est une belle histoire sur l'enfance, l'émerveillement de la lecture et l'entraide.
Un roman super pour les jeunes lecteurs.



lundi 13 juin 2016

89. un brin de sorcellerie

Ma quatre-vingt-neuvième lecture est un roman jeunesse de Celia Rees : Journal d'une sorcière

Voici le synopsis : "Mars 1659. Suite à l'exécution publique de sa grand-mère, condamnée pour sorcellerie, Mary s'embarque pour le Nouveau Monde - l'Amérique - afin d'échapper au même triste destin. Un interminable voyage commence à bord de l'Annabel, voyage dangereux s'il en est pour la jeune Mary qui doit faire face aux regards méfiants et à l'austérité des colons puritains embarques à ses côtés. Promiscuité, découragement, superstition, mais aussi amitiés et amours naissantes font le quotidien de la jeune fille, livré à son journal. Dans un XVIIe siècle où fièvre religieuse et barbarie se croisent, où tout reste à découvrir, cette adolescente décidée, en recherche permanente de sa propre identité, dépassera ses craintes et les conventions sociales pour aller à la rencontre du monde, de l'autre et de la connaissance..."

J'ai dévoré ce roman en moins de deux jours ! Même si je n'ai pas trop accrochée à la présentation d'un récit encadré et à celle d'un manuscrit trouvé, j'ai été vite captivée par l'histoire de cette adolescente  : fuir l'Angleterre, ses troubles politiques et religieux, traverser l'Atlantique avec des passagers dont elle ignore tout et découvrir un nouveau monde pourtant aussi plein de règles, de dogmes et de contraintes que l'ancien...

Une lecture que je conseille à tous, à lire au coin du feu ou en lisière de forêt. 

dimanche 12 juin 2016

86-87 et 88 : un manga pour changer !

Je me suis lancée dans la lecture d'un manga, dont j'ai dévoré en un riend e temps. Il s'agit de "Death Note " de Tusgumi Ohba et Takeshi Obata :


Bon, je l'avoue, il s'agit d'une relecture... mais cela remonte déjà à pas mal d'années et je n'en pas un gardé un souvenir très précis et je n'avais pas eu la possibilité de finir la saga. Cette fois c'est décidé, je la liai en entier (d'autant que je peux l'emprunter à la bibliothèque !). 
Si les dessin sont sympa, c'est surtout l'histoire qui est passionnante. 

Light, un lycéen surdoué, trouve un carnet abandonné, il s'agit du "death note" '(le carnet de mort) qu'a "égaré" un Ryûk, un dieu de la mort. Au fur et à mesure des épisode on en découvre de plus en plus sur les conditions d'utilisation de ce carnet. Mais voici le principe général : celui qui trouve le death note en devient propriétaire. Si l'on écrit le nom d'une personne en visualisant son visage, cette personne meurt. On peut préciser les circonstances de la mort ou alors celle-ci surviendra par crise cardiaque. Le dieu de la mort à qui appartient le carnet accompagne l'humain propriétaire du death note et celui-ci est le seul à le voir....
Light se décide à tester les capacités du carnet et fait le projet de changer l'humanité : il va punir tous les criminels afin de créer une erre nouvelle où plus personne ne commettra le mal ... et dont il sera le dieu ayant droit de vie et de mort sur quiconque. 
Et voilà que s'engage un bras de fer entre lui et un mystérieux "L" que les polices du ponde entier ont appeler à leur secours pour trouver et arrêter ce criminel étrange que l'on surnomme "Kira". Light (Kira) et "L" sont tous deux dotés d'une intelligence remarquable et d'un esprit de déduction hors-paire. C'est un véritable duel à distance qui s'engage entre eux au fil des épisodes. 

jeudi 9 juin 2016

85. "Magasin général" tome 6

Ma quatre-vingt-quatrième lecture est sans surprise le tome 6 de la bédé de Loisel et Tripp "Magasin général" : 

Voici le synopsis : "En l’absence de Marie, dont personne ne sait si et quand elle reviendra de Montréal, Serge a pris la décision de s’occuper désormais de son commerce. C’est qu’il faut bien approvisionner Notre- Dame-des-Lacs, qui manque de tout depuis que son Magasin Général est tombé en déshérence. Malheureusement, ce n’est pas si simple. Les fournisseurs de Saint-Simon, qui n’accordaient leur confiance qu’à Marie, refusent de faire crédit à Serge. La tension monte au village, scindé en deux camps : ceux qui regrettent Marie (surtout les hommes) et ceux qui sont heureux qu’elle soit partie (surtout les femmes), ne lui pardonnant pas d’avoir « fauté ». 
Pendant ce temps, Marie s’amuse comme une folle à Montréal, sort et multiplie les amants. Mais elle est nostalgique du village…"

Je continue avec plaisir cette saga. Dans cet épisode, la meilleure amie de Marie regrette peu à peu son attitude (surtout grâce à son époux) tandis que Jacinthe regrette son village natal... 
A la fin de cet épisode, deux nouveaux personnages font leur apparition : deux trappeurs, dont l'un est gravement blessé...

J'ai hâte de retourner à la bibliothèque pour emprunté les tomes suivants et savoir quel sera le rôle de ces nouveaux venus, comment Marie va se réintégrer au village ....

mercredi 8 juin 2016

84. "Magasin général" tome 5

Ma quatre-vingt-troisième lecture est tout naturellement le tome 5 de la saga de Loisel et Tripp : "Magasin général" :
Marie a besoin d'affection, et comme elle est tombée sous le charme de Serge et que cela ne peut être réciproque, Marie fait une belle bêtise : elle couche avec un jeune homme qui se trouve être fiancé. La jeune découvre tout et après avoir fichu son poing dans la figure de son chum, elle va dire ce qu'elle pense à Marie dans son magasin. et tout le village se met à jaser, à regarder Marie de travers, à murmurer à son sujet. Le curé vient lui parler, les paroissiens désertent le magasin et envoient leurs enfants faire les commissions à leur place. Bref, Marie n'en peut plus et part à Montréal laissant tout le village en émoi : sans Marie, plus de magasin... sans magasin, plus de ravitaillement ...

J'ai adoré cette épisode, la vie de la paroisse est bouleversée par m'écart de conduite de deux personnages. Et cela va changer la vie de Marie, la décider à sortir enfin de sa coquille et prendre sa vie en mains !
Et dans ce tome, on découvre encore un peu plus le personnage de Jacinthe et les relations entre Serge et de son "fils adoptif".

Un tome qui met en joie, on voit les villageois se mordre les doigts de leur attitude, tandis que Marie va prendre goût à la vie.

mardi 7 juin 2016

83. "Magasin généal" tome 4

Ma quatre-vingt-deuxième lecture est le quatrième tome de la saga "Magasin général" de Loisel et Tripp :
Je retrouvé avec plaisir cette sage et j'ai adoré, tout comme les autres tomes !
 Voici le synopsis :
"Le printemps est revenu à Notre Dame des Lacs et tout le village se retrouve réuni à l’occasion d’un baptême. Après avoir failli être chassé de la petite communauté, Serge Brouillet, est maintenant parfaitement accepté de tous. Au point de se voir désormais, avec Marie, la jeune veuve du Magasin Général, soumis avec insistance à la question : quand vont-ils donc se marier et régulariser leur situation?"
Effectivement, Serge a un secret et il pèse de plus en plus à Marie... aussi va-t-elle se confesser... mais comment va réagir le curé ? Saura-t-il garder le silence ? 

J'ai beaucoup aimé : les liens entre les personnages se resserrent, certaines relations évoluent, on en apprend plus sur quelques-uns. La tolérance, le respect de l'autre mais aussi le quand-dire-t-on? sont au coeur de cet épisode. 

lundi 6 juin 2016

82. petit tour en Finlande

Ma quatre-vingt-cinquième lecture est un roman d'Arto Paasilinna : "sang chaud, nerfs d'acier" :
Voici le synopsis :
"Linnea Lindeman - une forte femme, poissonnière, chasseuse de phoques et accoucheuse un peu chamane - a une vision : Antti Kokkoluoto, héros aux nerfs d'acier mais au sang chaud, naîtra en 1918, au moment même où la Finlande tout juste indépendante plongera dans la guerre civile, et s'éteindra un beau jour de 1990. Entre-temps, Antti mènera une vie épique, comme seul Paasilinna sait les concocter : plongé tout jeune dans les secrets du métier de commerçant et de maquignon, mais aussi de la contrebande d'alcool, on le verra tour à tour endosser l'habit d'entrepreneur, de père de famille, d'homme politique, et même de champion olympique de tir au pistolet !"

J'ai trouvé ce roman en flânant dans les rayons de la bibliothèque de ma ville. J'ai bien aimé ce livre même si l'histoire n'a pas le charme joyeux et farfelu à loisir des autres histoires de Paasilinna. On y retrouve tout de même l'humour de cet auteur, et l'ancrage dans l'histoire de la Finlande. 
Ce n'est pas mon préféré parmi les ouvrages de cet auteur, mais je l'ai tout de même bien apprécié. 

A lire tranquillement, un jour de pluie

81. un receuil de textes

Ma quatre-vingtième lecture est un recueil de texts qu'une maison d'édition m'a envoyé : "20 récits d'anticipation et de science-fiction" présentés par Bernard Weber

Si j'avais été toute heureuse de prime abord, je me suis hélas vite aperçue qu'il s'agit d'un joyeux fourre-tout. Aux nouvelles plus ou moins modernes (la première est une nouvelle de Jules Vernes : assez longue et sans véritable action) s'intercalent des extraits de romans phares de la Sf (1984, Le meilleur des mondes ...) : certes cela permet une première approche aux collégiens, mais cela reste assez superficiel et sans grande unité. Cela dit, le point positif, c'est qu'il y a donc forcément un texte qui plaira à chaque lecteur.
Une édition très scolaire au final.

dimanche 5 juin 2016

80 : une bédé

Ma quatre-vingtième lecture est le second album de "Monsieur Blaireaux et madame Renard" :
J'ai retrouvé avec plaisir les familles Blaireux et Renard qui continuent à cohabiter. Les enfants s'entendent de mieux en mieux même si Roussette a du mal à partager sa mère. Et voilà que son père refait surface et que deux chats domestiques font irruption dans la cabane des enfants !

Une belle histoire sur les famille recomposées mais surtout sur le partage au sein d'une fratrie, l'acceptation d'un petit frère.

J'ai hâte de lire la suite... que j'emprunterai lors de mon prochain passage à la bibliothèque !

samedi 4 juin 2016

79 : Le Cid

Ma soixante-dix-neuvième lecture est en fait une relecture d'une tragicomédie de Corneille :
Inutile de vous présenter l'histoire d'amour impossible que vivent Rodrigue et Chimène, les hauts fait de ce héros et l'implacable vertu de sa bien-aimée.
Ce que j'ai vraiment apprécié dans cette relecture c'est la langue de Corneille, ces vers magnifiques que l'on ne peut s'empêcher de prononcer en lisant afin de mieux les goûter. Et l'on retrouve avec plaisir ces passages si célèbres : "Va, je ne te hais point." "va, cours, vole et nous venge" à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire" ou encore "aux âmes bien nées, la valeur n'attend poitn le nombre des années".
Bref, un délice !

A lire sans modération.

vendredi 3 juin 2016

Un peu de vocabulaire # 16

Voici quelques mots issus de mes dernières lectures, je vous les livre en pagaille : 

Solfier est un mot construit au Moyen Age à partir de "sol" et de "fa". solfier est une activité qui consiste à nommer les note d'un air de musique.

Explétif est un adjectif qui désigne un mot qui n'est pas nécessaire au sens d'une phrase mais qui lui apporte une nuance.

spondyle désigne un mollusque bivalve hérissé de piquant
Lénifiant est un adjectif issu du latin "lenis" (frais"), il a donc le sens d'apaisant.

La chignole est un outil permettant de forer un trou mais peut aussi désigner une mauvaise voiture.

Stucature est le synonyme de stucage (ce qui ne nous avance pas beaucoup comme défintition) : c'est le fait de stuquer soit d'enduire une surface de stuc, ou le résultat de cette action.

Le discobole (qui n'a rien à voir avec le disco) est un athlète grec lançant le disque.

jeudi 2 juin 2016

78. Michka

ma soixante-dix-huitième lecture est un conte de Marie Colmont et Gérard Franquin :

En fait, je l'ai lu il y a quelques semaines déjà mais je crois bien d'avoir oublié e-d'en faire un petit article sur ce blog !
Il s'agit de l'histoire d'un petit ours en peluche qui appartient à une fillette tyrannique. un soir, il décide qu'il en a marre et qu'il ne veut plus être un jouet... il part donc dans la forêt !

C'est un joli conte de Noël, plein de tendresse et de poésie. Je l'ai lu et je le relirai pour mon petit bout de chou !

=> pour le jeu des 7 familles, cette lecture sera la mère (histoire publié en 1941) de la famille Noroman !

mercredi 1 juin 2016

77. Toujours le "Magasin Général"

Ma soixante-seizième lecture est -sans surprise- le tome 3 du "Magasin général" de Loisel et Tripp :
Dans ce troisième épisode, les hommes -partis tous l'hivers pour bucheronner- rentrent au village et voient d'un très mauvais oeil le nouvel habitant : il est porté aux nues par toutes les femmes, il a ouvert un restaurant qui en plus est gratuit ! Bref, il les exaspère !

Ce troisième volet m'a plu tout autant ! Et on en apprend un peu plus sur le passé de serge ! Et aussi sur le curé !

Bref, j'ai hâte de pouvoir emprunter la suite !